15 novembre 2012
Les quatre jeudis s'en sont allées voir l'expo Hopper au Grand Palais
Pour moi, ce qui est troublant chez Hopper , c'est ce sentiment d'étrangeté qu'on éprouve quand on regarde ses tableaux. On ne saisit pas tout de suite pourquoi. Les sujets nous sont quotidiens, rues, boutiques, immeubles, campagne, mer et côtes, mais...