01.12.14
En attendant Noël... #1

26.11.14
le défi culinaire/la gourmandise du dimanche #7

22.11.14
Autour du divin marquis
"Combien de fois, sacredieu, n'ai-je pas désiré qu'on pût attaquer le soleil, en priver l'univers, ou s'en servir pour embraser le monde?"
La pénombre de l'expo Sade à Orsay n'est pas fortuite , nous pénétrons de salles en salles dans les ténèbres de sa prison, de son âme, de sa pensée et de l'interdit. Il est d'ailleurs paradoxal que cet auteur sulfureux, longtemps confiné à l'enfer des bibliothèques puisse faire l'objet d'un accrochage aussi exposé
C'est donc l'écho de l'univers de Sade dans le cinéma, la... [Lire la suite]
21.11.14
Etre la fille du tableau #6 celle qui se promène sur un poisson volant
Me promener dans le ciel sur un poisson volant,
laisser ma fiesta au parking, enfourcher la monture aux écailles lisses,
attraper les nuages et un paquet d'étoiles, secouer les oreillers de brumes,
ignorer mon guide, prier pour qu'il ne se retourne pas,
faire signe à St Antoine: "Je suis au ciel, je suis au ciel"
Et dans un dernier looping, plonger dans la mer, éteindre le feu qui crépite
Je suis au fond, tout au fond
Mon dieu, ai je cédé à la tentation?
19.11.14
The Parisianer, les couvertures d'un magazine imaginaire

17.11.14
Le défi culinaire du dimanche #6

16.11.14
Melchior, Gaspard, Balthazar

13.11.14
Asa nisi masa
Nous avons emmené nos enfants voir la dernière création de José Montalvo "Asa nisi masa"à la MACU.....
Depuis que nous avons découvert "Le jardin de Io io ito", nous sommes des inconditionnelles des chorégraphes José Montalvo et Dominique Hervieu. Loin du codage étroit et nunuche de la danse classique et de ses danseuses androgynes avec les cheveux tellement tirés qu'ils servent de lifting, chez Montalvo/Hervieu, c'est la vie et la joie d'exister et de danser qui s'expriment dans... [Lire la suite]
10.11.14
Confusions du genre....
N’est-il pas étrange que nous ne sachions pas qui nous sommes? Je veux dire que nous en savons si peu sur nous-même, c’est choquant. Nous nous racontons une histoire et nous y croyons tout du long, et puis il s’avère que ce n’est pas la bonne histoire, ce qui signifie que nous avons vécu une vie qui n’est pas la bonne. »
Harriet Burden à la mort de son mari, galériste new yorkais, persuadée que le fait d'être une femme l'empêche d'accéder à une reconnaissance dans le monde de l'art va utiliser un subterfuge en... [Lire la suite]